Cette puissance de travail que je peux dégager pour un projet, une candidature, un entretien et que je ne parviens pas à mettre au service de l'écriture.
Toujours ça continue de me poser question.
Sans doute parce que je sais comment procéder dans le premier cas. J'ai été form(at)ée pour. Alors que faire surgir de l'intérieur ce qui remue pour écrire un texte, tracer un trait d'encre qui puisse toucher l'autre, on ne sait jamais faire. On tâtonne.
Le courage de se heurter à ce tâtonnement infini, installée à l'intérieur de soi et non pas à l'extérieur d'un projet objectifs-moyens-actions.
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